Les correspondances
de Martin-Pierre Marsick

Correspondances familiales
A Armand Marsick 23 janvier 1924 Martin-Pierre évoque dans cette lettre à son neveu Armand Marsick, sa maladie, mais également ses succès dans le monde musical parisien
A Armand Marsick 21 février 1924 Martin-Pierre évoque dans cette lettre adressée à Armand Marsick, sa rencontre avec la Princesse de Mercy Argenteau. Elle témoigne du rôle majeur joué par cette mécène, dans les débuts de sa carrière

Correspondances musicales entre Martin-Pierre Marsick et les musiciens de son époque
Gabriel Fauré sans date Gabriel Fauré dans cette lettre répond favorablement à la demande de Martin-Pierre Marsick de jouer une sonate avec Mme Meyer, et lui propose également de jouer la sonate en ré mineur de Schumann.
Camille Saint-Saëns 27 février 1908 Etonnante lettre de Camille Saint-Saëns depuis le Caire, exhortant Martin-Pierre Marsick à garder son calme. Elle témoigne de la grande proximité entre les deux artistes tout au long de leur carrière.
Pauline Viardot 19 juin ???? Pauline Viardot, dans cette courte lettre, invite Martin-Pierre Marsick à jouer avec le violoncelliste Brandoukoff lors d'un diner qu'elle organise avec Tchaïkowski. Cette lettre témoigne de l'art de faire de la musique sans façon, et en salon.
George Enesco 20 février 1922 George Enesco, élève de Martin-Pierre Marsick, remercie son Maitre de ses encouragements flatteurs et l'informe de son prochain passage à Paris.
Léo Délibes mars 1890 Léo Delibes, compositeur de ballets et d'opéra, informe Martin-Pierre Marsick par ce télégramme de l'absence de Nellie Melba, soprano australienne, lors du concert prévu le soir même.
Cécile Chaminade sans date Cécile Chaminade, célèbre pianiste et compositrice de la fin du XIX°siècle, écrit depuis Genève, où elle demande à Martin-Pierre de bien vouloir jouer à Paris, Salle Erard, lors d'une audition le jour du printemps. Elle évoque également dans cette correspondance, ses concerts à Genève et à Lyon.
Jean Gounod sans date Carte lettre où l'on peut apercevoir Charles Gounod, célèbre compositeur du XIX° siècle, signée par Jean Gounod, fils de Charles Gounod.
Jules Massenet sans date Lettre de félicitation de Jules Massenet,suite à la nomination de Martin-Pierre Marsick au Conservatoire de Musique de Paris . Martin-Pierre Marsick transcrira pour le piano et le violon, la Méditation de Thaïs de Jules Massenet.
Nellie Melba sans date Lettre de Nellie Melba, s'inquiétant de la santé de Martin-Pierre et le félicitant pour son dernier concert.
Joseph Joachim sans date Carte lettre sans date de Joseph Joachim, violoniste allemand, ami de Johannes Brahms qui lui dédie son premier concerto pour violon. Martin-Pierre suivra à Berlin, les cours de Joseph Joachim.
Joseph Joachim sans date Lettre de Joseph Joachim à Martin-Pierre Marsick, le remerciant d'accepter de rejoindre le quatuor qu'il souhaite former à l'occasion d'un concert à Paris.
Julie Landowski née Vieuxtemps 19 août 1881 Lettre de Julie Landowski, fille d'Henri Vieuxtemps, à Martin-Pierre Marsick, postée depuis Mustapha en Algérie. Dans ce long courrier, Julie Vieuxtemps décrit les derniers instants de la vie d'Henri Vieuxtemps. Elle lui demande également de s'associer à la cérémonie de funérailles solennelles organisée par la ville de Verviers, dont était natif Henri Vieuxtemps. Julie Vieuxtemps était mariée à Edouard Landowski. Ils donneront naissance au célèbre sculpteur Paul Landowski. Ce dernier est le père du musicien Marcel Landowski.
Henri Vieuxtemps sans date Lettre d'Henri Vieuxtemps, violoniste et compositeur, remerciant Martin-Pierre Marsick pour son interprétation de l'un de ses quatuors.
Henri Vieuxtemps sans date Lettre d'Henri Vieuxtemps à Martin-Pierre Marsick lui demandant de confirmer sa présence pour une répétition d'une de ses oeuvres. Cette invitation très militaire ne laisse guère de choix à Martin-Pierre Marsick quant à sa réponse. Cela n'empêchera pas Henri Vieuxtemps de porter une grande admiration à Martin-Pierre Marsick pour son talent musical.
Henri Vieuxtemps sans date Carte de visite d'Henri Vieuxtemps
Maximilien Vieuxtemps 1°septembre 1881 Photo d'Henri Vieuxtemps. La dédicace est rédigée par Maximilien Vieuxtemps, fils du compositeur et adressée à Louis Marsick, père d'Armand Marsick et frère de Martin-Pierre Marsick , en souvenir du concert donné lors des funérailles d'Henri Vieuxtemps, à Verviers.
Maximilien Vieuxtemps 25 septembre 1898 Carte photo du monument en hommage à Henri Vieuxtemps, érigé à Verviers. Le mot de remerciement est rédigé par Maximilien Vieuxtemps, fils du compositeur. Il adresse à Martin-Pierre Marsick ses remerciements pour un concert donné à Paris, le bénéfice de ce concert ayant contribué au projet de monument à la mémoire d'Henri Vieuxtemps.
Martin-Pierre Marsick

à

Auguste Dorchain		 1906 Les deux lettres échangées avec Auguste Dorchain se rapportent à l'audition à l'Opéra Comique du drame lyrique en deux actes "Le Puits", composé par Martin-Pierre Marsick. Auguste Dorchain en était le librettiste. Albert Carré était alors directeur de l'Opéra Comique. Il a joué un rôle déterminant dans l'histoire de cette maison et c'est sous sa direction que de nombreux opéras furent créés, notamment Pelléas et Mélisande de Debussy.

Ces documents sont ici reproduits grâce à l'aimable autorisation de la librairie Signatures
Auguste Dorchain 1906 Dédicade d'Auguste Dorchain, écrivain et poète, à Martin-Pierre Marsick, suite à l'exécution du drame lyrique le Puits à l'Opéra Comique.
Fernand Halphen 8 août 1889 Fernand Halphen, compositeur français (1872-1917), fut un des élèves de Martin-Pierre Marsick lorsqu'il était professeur au Conservatoire de Paris.

Dans cette lettre, écrite sur un programme musical, Fernand Halphen, en voyage à Bayreuth, livre à Martin-Pierre Marsick, ses impressions après avoir entendu l'oeuvre de Parsifal de Wagner. Il évoque également la présence de Guarnerius, qui salue au passage Martin-Pierre.
Fernand Halphen 21 avril 1891 Fernand Halphen dans cette lettre pleine de délicatesse, écrit à Martin-Pierre Marsick pour le remercier de son attention, le comparant à un ange humain.
Vincent d'Indy 8 janvier 1887 Vincent d'Indy, dans cette lettre, remercie Martin-Pierre Marsick, pour le travail réalisé pour l'exécution de son septuor.